C’est une lettre de tempête. Une lettre de démence.
Celle d’une femme imprimant à sa descente en enfer des vocalises menaçantes. Et c’est une rencontre, inscrite sous
le signe de la contrainte, entre un auteur et un artiste.
Une contrainte traduite sous la forme d’un lipogramme composé par Olivier Lannuzel. Une progression de la tempête illustrée par des « divagations météorologiques », dessins à l’encre de chine de Jean-Denys Phillipe.